Alain Badiou |
1. Le «non» –Oxi– massif du peuple grec ne
signifie pas un refus de l’Europe. Il signifie un refus de l’Europe des
banquiers, de la dette infinie et du capitalisme
mondialisé.
“Tres pasiones, simples, pero abrumadoramente intensas, han gobernado mi vida: el ansia de amor, la búsqueda del conocimiento y una insoportable piedad por los sufrimientos de la humanidad. Estas tres pasiones, como grandes vendavales, me han llevado de acá para allá, por una ruta cambiante, sobre un profundo océano de angustia, hasta el borde mismo de la desesperación” — Bertrand Russell
11/7/15
Onze (11) notes inspirées de la situation grecque
►
Il est urgent d’internationaliser la cause du peuple grec. Seul l’effacement
total de la dette portera un «coup idéologique» au système européen actuel
2. Une
partie de l’opinion nationaliste, voire de la droite extrême, a voté aussi
«non» aux exigences des institutions financières ? Au diktat des gouvernements réactionnaires
européens ? Et bien, nous savons que tout vote purement négatif est en partie
confus. L’extrême droite, depuis toujours, peut refuser certaines choses que
refuse aussi l’extrême gauche. Seule l’affirmation de ce que
l’on veut est claire. Mais tout le monde sait que ce que veut Syriza
est opposé à ce que veulent les nationalistes et les fascistes. Le vote
n’est donc pas un vote obscur contre les exigences antipopulaires
du capitalisme mondialisé et de ses serviteurs européens. C’est
aussi un vote qui, pour le moment, fait confiance au gouvernement
Tsípras.
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